Kishkindha Kanda

Publié le par Damo


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La sexualité frénétique des Bonobos a souvent posé question.
Le
Pan paniscus perturbait avant tout parce qu'il avait la plus grande similitude génétique
rapportée à l'homme, et qu'il BAISAIT COMME UN DINGUE.
Difficile de constater une chose d'un côté, et d'accepter l'autre, pourtant deux faits scientifiquement
établis l'un comme l'autre.

Le professeur Von Riefensthal établit, certes, la théorie que "les relations sexuelles, feintes ou réelles, sont plus souvent utilisés comme mode de résolution des conflits, à côté des mécanismes de domination. Par exemple, il est courant qu'un membre du groupe pratique des actes sexuels dans le but de plaire à un autre membre ou pour réduire les tensions sociales (par exemple, un individu subordonné peut utiliser des actes sexuels pour calmer un autre individu plus fort ou plus agressif)".
L'explication avait l'avantage de rassurer un minimum, mais l'affaire restait en suspens. Quoiqu'il en soit,
les Bonobos avaient une fréquence de résolution des conflits plus importante qu'un régiment de soudards.

De plus, les Bonobos avaient bien un tabou sexuel par rapport à l'inceste.
Quelle autre brèche suffisait il aux pervers de tous poils pour affirmer dès lors que là était bien une
preuve de plus que l'homme était le plus proche cousin d'un primate qui niquait tout ce qui bouge ?
Pourtant, et une certaine partie de la communauté scientifique s'en réjouit, au delà de toute considération anthropomorphique obsédée, la société des Bonobos était d'un pacifisme ahurissant.

Très rares sont les conflits, comme de bien entendu, et rares sont les blessures.
Peut être pouvait on y voir, au delà des règlements de conflits par la sexualité, un effet de la
matriarcalité de cette société. Les féministes bien sûr s'en emparèrent, mais personne ne s'en
préoccupa.

Et puis un jour, la science permit de décoder de façon réellement efficace le génôme de toutes les espèces qui en avaient un. Et des scientifiques finirent par chercher quelles étaient vraiment les différences entre l'humain et le bonobo, histoire de savoir, et bien, pourquoi l'un niquait comme un fou et pas l'autre.
Et ce qu'ils découvrirent les surprit. En fait, le bonobo n'avait pas de gène de la gêne.
Et donc, ils s'en foutaient d'être à poil.
Dans ce cas, difficile de répondre à une agression par la violence.

Mieux vaut se toucher les parties.

Publié dans Général

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D
c toi qui a écrit ça? <br /> ça change !! et on dirait presque un article de revue animalière (enfin plutot une brêve).<br /> <br /> enfin tu m'étonnes que ça les gene pas d'être à poils. on pourrait estimer qu'ils baisent tout habillés
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